6 nouveaux projets sélectionnés par la Fondation EY pour les métiers manuels !

Nouveaux projets / 11.04.2017

1Benoit Quettier (Rakor Plomberie), plombier responsable (Lyon)  

Benoît Quettier choisit de se reconvertir pour devenir « l’artisan de ses rêves ». Aujourd’hui plombier en centre-ville de Lyon, il met le digital à son service tout en plaçant l’humain et l’environnement au cœur de son projet (assistance via FaceTime, dématérialisation des documents administratifs, déplacements réalisés en véhicule électrique). Il porte un projet ambitieux autour de l’éco-mobilité, au-delà de son activité de plomberie.

Soutien en compétences pendant deux ans.

Crédit photo : Benoît Quettier

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2Doriane Dostert, cuisinière (Paris)

Passionnées de restauration, de gastronomie et d’entrepreneuriat, Doriane Dostert et Delphine Laguerre portent un projet de création d’activité autour du sandwich cuisiné.

Leur concept consiste en une offre de restauration bonne pour la santé et accessible à tous les budgets. Doriane est titulaire d’un CAP Cuisine et a suivi la formation « Cuisine mode d’emploi(s) » avec le Chef Thierry Marx. Elle a travaillé au Mandarin Oriental avant de participer à l’ouverture de La Boulangerie de Thierry Marx en tant que Chef de Cuisine.

Soutien en compétences pendant deux ans.

Crédit photo : Doriane Dostert

 

 

3Association Jean-Luc François, insertion par la couture (Paris/Ham)

Jean-Luc François débute sa carrière dans le secteur de la mode à l’âge de 15 ans. Il est formé par Yves Saint-Laurent et crée des collections d’accessoires et de tissus pour des grandes maisons de luxe. Après avoir lancé la marque « Jean-Luc François Prêt-à-Porter », spécialisée dans les robes de cocktail en soie et en mousseline, il fonde « l’Association Jean-Luc François » en 2010.
Soutenue par les professionnels du secteur et les pouvoirs publics, l’association vise, à travers son programme Couture & Métiers, d’une part à faciliter l’insertion professionnelle d’un public défavorisé et d’autre part à répondre aux besoins en main-d’œuvre qualifiée de l’industrie de la mode et du textile en France.

L’association prépare l’ouverture d’un atelier coopératif dans les Hauts-de-France, pour faire de la production en petites séries et redynamiser un territoire fortement touché par le chômage. L’objectif est de créer à Ham, en Picardie, 40 emplois durables à horizon 2020.

Soutien en compétences pendant deux ans.

Crédit photo : Fondation EY / Connect heads

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4Lilian Thollet (Ox-idée)métallier/chaudronnier (région lyonnaise)  

Après 8 ans d’expérience dans la métallerie, Lilian Thollet lance Ox-idée en 2014. L’acier est devenu un matériau central pour l’aménagement et la décoration intérieure et Ox-idée réalise tous types de projets : création de verrières industrielles, mezzanines, mobilier sur mesure et objets de décoration 100% made in Lyon.

Lilian Thollet cherche à faire changer le regard sur l’acier, souvent perçu comme massif et lourd en le travaillant avec finesse en collaboration avec un designer.

Soutien en compétences pendant deux ans.

Crédit photo : Lilian Thollet

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5Sakina M’sa, maison de couture solidaire (Paris)

Sakina M’sa est une maison de couture solidaire, fondée par la styliste du même nom, axée sur l’insertion par le beau et par l’excellence. Elle a fait de la marque un modèle unique associant le fait main, l’insertion des femmes en difficulté sociale et des valeurs environnementales fortes.

Après la création de deux points de vente, Sakina souhaite essaimer pour soutenir la croissance de son projet économique et social.

Soutien en compétences pendant deux ans.

Crédit photo : Fondation EY/Adrien Daste

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6Elisabeth Berthon, feutrière (Lyon)

C’est en Nouvelle Zélande qu’Elisabeth Berthon découvre le feutre de laine et toutes les possibilités qu’offrent ses fibres. Depuis, elle travaille cette matière et elle est devenue l’une des rares feutrières françaises, appréciée et reconnue pour les qualités esthétiques et techniques de sa production fait main.

Elisabeth Berthon fabrique également des vêtements et objets à partir d’un nouveau procédé d’impression végétale et de teinture botanique écologique. Formatrice, elle transmet son savoir-faire à des stagiaires ou au grand public lors d’ateliers.

Soutien en compétences pendant deux ans.

Crédit photo : Elisabeth Berthon

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Crédit photo à la Une : Fondation EY/ Connect heads